L’édition 2023 s’est dotée du programme le plus complet de l’histoire de la compétition
Les 835 tests menés par la FIFA en compétition et hors compétition sont tous négatifs
Le nombre de tests a augmenté de 25% par rapport à France 2019
Pour cette édition 2023, la FIFA a mis en place le programme de lutte contre le dopage le plus complet de toute l’histoire de la Coupe du Monde Féminine de la FIFA™. Autre motif de satisfaction : les 835 tests réalisés jusqu’aux quarts de finale compris (en compétition et hors compétition) sont tous négatifs.
Toutes les équipes en lice se sont pliées à des contrôles de dopage inopinés avant la compétition. Par la suite, des tests systématiques ont été organisés à l’issue des matches mais aussi durant les jours de repos. Afin d’obtenir les résultats les plus pertinents et les plus documentés possible, les tests réalisés répondent à une série de critères : recommandations de l’Unité de gestion du passeport de l’athlète de la FIFA, blessures éventuellement subies, données de performances et historique des joueuses.
La mise en œuvre de ce programme est assurée en coopération avec Sport Integrity Australia (SIA) et Drug Free Sport New Zealand (DFSNZ). De son côté, l’Unité de gestion du passeport de l’athlète, composée d’experts indépendants, étudie les données recueillies afin d’identifier des variations susceptibles de révéler l’usage de substances permettant d’améliorer les performances.
Les principaux chiffres des contrôles menés avant et pendant la Coupe du Monde Féminine de la FIFA, Australie & Nouvelle-Zélande 2023™ sont détaillés ci-après :
835 tests menés directement par la FIFA (449 avant la compétition et 386 pendant la compétition à ce jour), en plus des tests menés par les organisations antidopage nationales et les confédérations en 2023
1 711 échantillons produits (824 échantillons d’urine, 415 échantillons de sang, 409 échantillons de passeport sanguin et 63 échantillons sur goutte de sang séché)
Ces chiffres représentent une hausse de 25% du nombre de tests par équipe par rapport à la Coupe du Monde Féminine de la FIFA, France 2019™
Les 32 équipes qualifiées ont été testées avant le début de la compétition
Tous les échantillons prélevés ont été analysés dans des laboratoires accrédités par l’Agence mondiale antidopage (AMA), la plupart d’entre eux étant traités par le laboratoire de Sydney (Australie).